À la réunion du Conseil municipal du 4 février 1933, un conseiller signala que certains citoyens regrettaient que les portes de l’église soient fermées pendant le sermon.
À la séance suivante, le Conseil, par sept voix contre deux et une abstention, exprima le désir de voir les portes rester ouvertes pendant la messe.
Courtois, mais ferme sur les principes, le pasteur maintiendra que, durant l’office, seule la porte de la sacristie peut rester ouverte.
D’après certains, une partie de la population masculine avait pris l’habitude de raccourcir la cérémonie en n’arrivant qu’après le prêche pour s’esquiver dès la communion achevée.